LE LIVRE ET LE LECTEUR
Savons-nous satisfaire notre appétit intellectuel? Cet exigence bien prononcée qui poussa l'homme à la recherche du bien, trouve sa réponse dans la lecture.
Qui d'entre nous peu s'imaginer l'étendue de la richesse intellectuelle que nous offre un bon livre? Qu'il s'agisse d'histoire, de commerce, de littérature, de voyages, de biographie, de religion, il y a matière à répondre à toute la gamme des goûts et intérêts les plus divers.
En plus de l'intérêt que suscite la bonne lecture, elle est très profitable, encore faut-il savoir bien lire, la réflexion est la partie la plus importante de la lecture qui nous fait extraire l'essence au livre et en classe les idées premières. Certes, il ne faut pas se contenter de lire des yeux, c'est là une opération mécanique, mais lire d'une façon intelligente de sorte qu'il nous reste au moins la substance de ce que nous venons de lire.
Il y a tellement de bons livres, de bonnes revues et de bons journaux en circulation pour s'attarder aux frivolités des comiques ou à ces revues qui depuis longtemps ont perdu le sens des valeurs humaines et à plus forte raison à ces plaquettes qui portent atteinte à la monalité et à la décence plus élémentaire.
Serait-il possible d'établir une bibliothèque dans notre village? Ça fournirait le moyen de répandre le goût de la bonne lecture tout en permettant un échange de livres sur une multiplicité de sujets; je vous en laisse la réponse!
Ne l'oublions pas, lire reste le grand moyen de la culture personelle et savoir lire c'est posséder la clef de toute acquisition intellectuelle. Mettons notre capital intellect à profit, lisons, ça paye des dividendes.
Ces jours derniers, dû à la surabondance des pluies, la condition des routes secondaires, quoique fatale pour les automobilistes, faisait les délices des jeunes patineurs et patineuses.
Les routes glissantes permettaient très peu de contrôle au volant, ce qui explique le retard des livraisons, ainsi que le retard des autobus qui doivent amener les élèves aux écoles.
Le piéton a eu lui aussi sa part d'acrobatie et de chutes. Il était beaucoup plus prudent de laisser la machine au garage et même de marcher le moins possible.
Pour ceux qui avaient conserver leur agilité le patin restait sans contredit le plus sur moyon de locomotion.